Samedi 7 novembre 6 07 /11 /Nov 13:20

Après un petit restau très sympathique dans lequel nous avons ri et passé un bon moment à discuter, j'ai décidé que nous allions poursuivre la soirée chez moi. Je connais tes envies... Nous en avons discuté lors d'échanges de mails... D'ailleurs ta tenue te le rappelle sans cesse : tu portes une robe largement décolletée, et tu portes des bas, toi qui n'en a pas l'habitude... Des escarpins, que tu mets très rarement, et tu ne portes pas de petite culotte ce soir. J'ai bien lu dans ton regard, entre deux discussions, le trouble que cela te procure... Parfois tu me jettes des regards interrogatifs, tu te demandes quel Maître je peux être...

Je ne suis pas de ces Maîtres qui exigent sans tenir compte des envies de l'autre. Au contraire, je pense que pour être un bon Maître, il faut être à l'écoute et comprendre sa soumise... Et ça implique de se connaitre à tous les niveaux, d'où le restau aux discussions plutôt anodines, alors que nos échanges de mails parlaient surtout de tes envies, des miennes ...

Nous arrivons chez moi. Nous sommes devant ma porte. Pour la première fois je te regarde très sérieusement, fini l'humour et la légèreté de la soirée... Je te regarde de la tête aux pieds. Tu ne dis plus rien, tu as très bien compris que la séance démarrait ici, sur ce palier. Je te regarde une bonne minute, satisfait de constater que tu ne dis plus rien. Je sens ton trouble et cela m'excite déjà, même si je ne laisse rien voir...

"Sarah, passé cette porte tu sais ce qui t'attend... Je vais être très sévère avec toi, tu ne seras là que pour me satisfaire, tu deviendras ma chose, ma chienne... Est-ce ce que tu désires ?
- Oui Maître, plus que tout ..."

Je te regarde encore, tu regardes la porte, tu n'as qu'une envie : passer de l'autre côté... Je fais durer le plaisir, je t'embrasse à pleine bouche, longuement...

"Soulève ta robe, salope.
- Oui Maître ..."

Tu soulèves ta robe et je regarde le haut de tes bas puis ton sexe se révéler à moi. Tu es presque totalement épilée, quelques poils tracent une ligne droite sur ton pubis...

"Ecarte les jambes ..."

Tu t'exécutes. Mes doigts viennent ouvrir les lèvres de ton sexe, et constater l'effet de la situation sur toi...

"Tu es déjà trempée ...
- Oui Maître, pour vous..."

J'ouvre la porte et te fais entrer. La porte se referme, et un monde s'ouvre...

"Retire tous tes vêtements, ne garde que les bas !"

Je sors le collier que j'avais en poche toute la soirée, un collier noir, très joli ... Je te le mets autour du cou, je sens ta respiration s'accélérer un peu. Au moment où j'accroche la laisse au collier, tu commences à te mettre à genoux. Je place un doigt sous ton menton et je te fais te relever. Puis je te gifle. Une seule gifle, forte.

"Tu sais très bien que tu ne dois rien faire sans mon ordre, nous en avons convenu...
- Oui Maître, merci Maître..."

Ta joue est rouge et je vois bien que tu n'as pas aimé cette gifle. C'est la qualité essentielle d'une punition efficace...

"Bien, maintenant mets-toi à quatre pattes, ma chienne".

Tu prends ton rôle très à coeur. Tu es à quatre pattes, et tu t'es installée à mes pieds. Je tire sur la laisse pour t'entrainer, et je commence à te promener dans l'appartement, jusqu'à te placer sur un tapis confortable. Tu restes ainsi, et je m'absente, te laissant ainsi.

Tu m'entends me servir un verre, le boire tranquillement, tu ne sais pas si je suis derrière toi en train de regarder tes trous de chienne ou si je suis dans la pièce d'à côté...

Les lanières de mon martinet se promenant sur tes fesses t'indiquent que finalement, je suis juste derrière toi. Je les passe sur tout ton corps, tu frissonnes, tu en as tellement envie que ça doit en être douloureux... Mais sois patiente, la délivrance est proche. Je fais durer le plaisir, les lanières te caressent le corps... Puis je te fais ouvrir la bouche et prendre le manche du martinet en travers, en bonne chienne. Je tire sur la laisse, pour t'emmener sur la table. Je te caresse les cheveux, en te disant que tu es une bonne chienne, et je reprend le martinet en main. Les caresses continuent, les lanières se promènent... Je vois ta chatte couler tellement tu en as envie...

"Supplie-moi, salope.
- Maître, par pitié, vous me rendez folle, j'en ai besoin, donnez-moi la correction que je mérite, Maître, je vous en supplie, Maître..."

Le premier coup frappe tes fesses, assez fort. Tu gémis, ton regard se trouble, tes fesses se tendent vers moi... Je te frappe les fesses ainsi pendant quelques minutes, faisant progressivement monter l'intensité des coups ... Tu gémis, parfois tu murmures "Merci Maître", tu te trémousses, tu es si belle... Si tu savais à quel point mon coeur chavire en te voyant comme ça ... Hmmmm...

Je te fais te redresser. Tu restes à genoux, mais tu es droite, les seins bien en avant. Le martinet commence son oeuvre ici. Très doucement, puis de plus en plus fort. Je te regarde, tu es ailleurs, là où tu aimes être... Tes seins rougissent, ton ventre aussi, alors que les coups se multiplient.

Une fois satisfait de ta résistance et de la couleur de tes seins, je cesse de te donner du martinet. Mes mains sont partout sur ton corps, douces, apaisantes, caressantes, et je t'embrasse très délicatement... La soirée ne fait cependant que commencer, te dis-tu avec plaisir et en souriant, en me voyant ouvrir mon pantalon...
Par C - Publié dans : soirées - Communauté : PLAISIRS BDSM
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